Bon!
J'étais parti pour faire un petit background, une introduction succincte de mon personnage à travers PW.
je pensais pas dépasser les dix lignes.... et voila ou j'en suis rendu.
Attention, je vous préviens tout de suite, c'est pas du Baudelaire ou du Rimbaud, c'est du Jabber. Ne vous attendez pas à lire un chef d'œuvre.
Niveau fautes d'orthographe le correcteur de word a bien fait son boulot (mais on est jamais à l'abri)
Pour les téméraires je vous souhaitent une bonne lecture
PS : j'attends vos commentaires, remarques, ( félicitations?
)
here we go...
L’histoire se déroule près de la majestueuse cité Ethersword, construite à flancs de montagnes. Cette ville prospère pullule de personnes, principalement des humains mais aussi des elfes et des beastkind, vivant en harmonie, et entretenant de multiples activées à dominance commerciales. Sur les versants extérieures des montagnes, se nichent une multitude de petites maisons abritant les familles plus modestes dont le travail est plus lié à l’agriculture et l’activité minière.
Dans l’une de ces petite bicoque se trouve une famille : le père, Ogun un homme, la quarantaine, taillé comme un roc, le visage un peu marqué par les années, arborant une épaisse barbe rousse et des lunettes fines en demi-lune, assez bourru ,il s’occupe de récolter le minerai qu’il trouve dans ses voyages. La mère, Ilda , est l’opposé complet de son mari, fine le visage pale, ses yeux vert de jade et ses longs cheveux noirs qui courent sur son dos lui font ressembler à une déesse antique, bien qu’elle puisse sembler sérieuse en apparence est la douceur incarnée. Sa tache est d’aider son mari à vendre les pierres récoltées à la cité aux joaillier et au forgeron. Le dernier personnage, est l’enfant unique de la famille, Jabberwock, âgé à peine de 10 ans , le bambin gambade et fait des roulades dans les alentours de la maison sous les yeux attentifs de ses parents. D’un caractère plutôt turbulent, sans nul doute hérité de son père ,il possède néanmoins l’aspect physique de sa mère.
La tranquillité apparente de cette modeste chaumière va malheureusement s’effondrer….
Dans une fin d’après-midi de septembre, ou le soleil commençait à disparaître à l’horizon, des bruits sourds à faire trembler le sol se firent entendre. Ils semblaient se rapprocher de la maison. Ogun sortit et eu une vision d’effroi. Du haut de la colline, dévalai une horde de golems et de serpents géants droit vers la maison. Ces premiers martelaient le sol d’un pas lourd dévastant tout sur leur passage, les yeux remplit de flammes d’une teinte bleutée, tout en hurlant d’une voix grave comme s’ils voulaient attirer l’attention. Les second plus silencieux n’en étaient pas moins monstrueux, leur allure zigzagante et agile leur procuraient une vitesse phénoménale, la bouche grande ouverte, ils laissaient entrevoir des crocs comparables à ceux d’un tigre.
Ogun se ressaisi, et fuit aussi vite qu’il pouvait son fils dans ses bras en tenant sa femme par la main, en direction du lac. La pente fit trébucher le père lâchant l’enfant et roulant plus ou moins au gré des rochers.
« Jabberwock » hurla Ilda qui son fils accroché par un buisson alors que les monstres se rapprochaient de plus en plus.
Le père dans un élan de désespoir se saisit d’une branche et fonça vers les ennemis en hurlant « FUYEZ, FUYEZ ».
Ilda prit son fils et couru sans se retourner. Elle se mit à pleurer, savant très bien ce qu’il advenait de son mari. A son tour elle trébucha et se cassa la jambe.
« MAMAN » hurla l’enfant la voix plein de sanglots.
« NON , VA T’EN » lui ordonna sa mère affalé sur le sol.
Malgré les injonctions de sa mère, Jabberwock viens se blottir prêt d’elle.
Alors que les premiers serpents les avaient déjà rattrapés et que la mort semblait imminente, un hurlement venu de derrière se fit entendre. Un colosse immense en armure vint percuter le premier groupe de créatures, les envoyant voler à plusieurs mètres. La danse de ses lames tailladai la chair dans une chorégraphie macabre accompagnée du bruit des râles d’agonie. Sous les yeux ébahis des deux rescapés, le guerrier se retourna, le corps couvert du sang verdâtre de ses ennemis, u sourire bienveillant au lèvres. Le combattant semblait marquer une pause alors que les lourds golems débarquaient à leur tour.
« Attention » criaient le fils et la mère ne chœur.
Le barbare eu un sourire en coin et dis le plus calmement du monde : « Maev, sans vouloir te commander… »
Dans un grondement assourdissant, un météore jailli du ciel pour écraser la troupe de golems.
L’impact propagea une onde de choc qui figea le reste des monstres.
Les rescapés de cet impact n’eurent pas le temps de réagit qu’un violent projectible flamboyant les enflamma. Ils se consumèrent sur place sans n’avoir riposté.
Jabberwock et Ilda se tournèrent doucement et virent derrière eux , dans la clarté de la lune une jeune fille vêtue d’une cape qui laissait entrevoir une armure fine et ciselée réservée aux magiciens. Ses cheveux blonds flottaient dans le vent, le visage sérieux, l’air hautain, elle ne daigna les regarder.
Le soldat s’avança vers eux et dit : « Je m’appelle Heimdall, je suis un garde de la cité d’Ethersword. Et la jeune boudeuse derrière vous, c’est Maev, une magicienne aguerrie rattachée à la garde des habitants de la cité. Nous allons vous raccompagner en sécurité dans la cité. »
Apres quelques années d’adaptation, Jabberwock et Ilda s’étaient parfaitement accoutumés à la vie intra-muros. Leur activité de mineurs avait repris calmement avec l’aide de leur voisins.
Néanmoins, Jabberwock n’était pas attiré par cette vie. Il avait un rêve depuis cette fameuse nuit : devenir un soldat de la cité. Il rêvait de devenir fort afin de pouvoir, à son tour, venir en aide aux autres comme Heimdall l’avait fait pour lui.
A treize ans, il suivit l’entrainement destiné aux guerriers. L’entrainement était rude, le maniement des armes blanches, les courses d’endurance, la lutte étaient des activités trop ambitieuses pour son jeune âge et sa condition physique.
Bien que profondément déçu, il du se rendre à l’évidence, il ne pourrai jamais devenir garde de la cité. Parti bouder prêt des chutes d’eau, il ne remarqua de suite la présence d’un vieillard à ses cotés. Il arborait une longue barbe grise et vêtu d’un longue toge grise également.
« Quand je n’étais encore qu’un jeune homme, je me voyais déjà forgeron. je pensais que grâce à ca je pourrai épater toutes les filles de la cité. Malheureusement, je n’avais pas les qualités requises pour le devenir, j’étais maladroit et très lent au travail, j’y ai vite renoncé et je me suis tourné vers une activité beaucoup plus… administrative. C’est énormément de responsabilités et de contraintes, mais c’est tellement valorisant. Et puis les filles raffolait de moi » lança le vieil homme avec un clin d’œil.
« Qu’est ce que vous entendez par la ? que je dois abandonner mon rêve pour faire de la paperasse ? » dit Jabberwock avec un brin d’agacement dans la voix.
« Non ! je dis juste que tu pourrai poursuivre ton rêve mais d’une autre manière. » rétorqua le vieil homme compatissant.
« C’est à dire ? » dit Jabberwock apparemment intrigué par ses dires.
« As tu déjà pensé à la magie ? » souffla l’ancien, un brin de malice dans le regard.
« Il existe un autre groupe de gardes de la cité dont les facultés sont plus liées à la magie qu’au combat au corps à corps. Il existe un groupe qui s’entraine justement, tu pourrai le rejoindre. Il est dirigé par quelqu’un que tu connais déjà, tu verra elle est très douée et aimable comme tout. Et extrêmement belle qui plus est. » dit l’ancien d’un sourire pervers, l’air songeur.
Le visage de Jabberwock s’illumina, il couru tout le long de la cité pour trouver ce groupe.
Le vieil homme, quand à lui, se releva et se rendit à son rythme au centre de la cité, de retour à ses occupations.
Ce n’est que bien plus tard que Jabberwock compris avec qui il avait parlé ce jour là.
Arrivé devant l’entrée de la cité, un groupe de personnes qui s’entrainait à lancer des sorts.
Il vit alors quelque chose qu’il n’aurai jamais cru s’il ne l’avais pas vu de ses propres yeux : Maev pouvais sourire.
En effet, l’entraineur du groupe de magie n’était autre que Maev, la jeune mage qui l’avait sauvé.
« Bonjour, je voudrais faire partie de personnes qui apprennent la magie. Pour intégrer les gardes de la cité. » dit Jabberwock, essoufflé par sa course.
A peine l’avait elle reconnu que son petit sourire qui lui formait des fossettes, se transforma en un visage lisse, sombre à la limite de l’antipathie.
Maev se sentait responsable de la mort d’Ogun. La vue de Jabberwock lui rappelai son échec ce jour là.
« Voyez vous ca ? Garde de la cité ? on aura tout vu… » rétorqua t’elle d’un ton condescendant.
« Je vous en prie, ne dites pas non, je sais que je suis fait pour ca… » supplia t’il.
« Vraiment !! Tu vois ce mannequin en paille là bas ? Brule le ! » dit Maev en désignant une botte de paille dressé comme un épouvantail.
« OU VA TU ? » hurla Maev avec férocité.
« Bin je vais chercher de quoi bruler le mannequin » répondit Jabberwock qui partait déjà chercher du feu.
« JE PARLAIS DE LE BRULER PAR MAGIE IDIOT » reprit Maev qui bouillait de colère devant l’incompétence de l’enfant qui revenait l’air satisfait.
Il se mit en place face à la cible, le plus concentré qu’il pouvait, posa ses doigts sur son front et essaya de créer une flammèche comme il avait déjà vu faire. Il devint rouge comme un tomate, puis violet, les veines de son front ressortaient de manière inquiétante.
La seule chose qu’il puisse produire ce jour là ne fut qu’un soupir.
« J’en ai assez vu » Maev reparti vers le groupe qu’elle dirigeait.
Le lendemain, il revint plus déterminé que jamais.
« Si j’échoue encore je ne reviendrai plus »lance t’il
« Parfait ! »répondit Maev pensant s’en débarrasser une fois pour toutes.
Une fois encore il se mit face au pantin de paille et suivant le même rituel, les doigts sur le front, et toujours cet air crispé qui indiquait qu’il se « concentrait ».
Au bout d’une minute, toujours rien ne venait, Maev voulu mettre fin à cette scène ridicule. Mais quand elle s’approcha de lui, une intense lueur virevoltait au bout de ses doigts.
« Mais jette la, bon sang, jette la » cria t’elle.
Complètement paniqué et émerveillé par ce qu’il avait créé, Jabberwock la lança au hasard vers le pantin de paille, qu’il manqua de plusieurs mètres. La boule de feu frappa de plein fouet un pauvre scarabée qui se trouvait derrière. La pauvre bête se consuma instantanément, ne laissant derrière elle qu’un amas de cendres.
« Wouhou !! » Le cri raisonna dans la vallée.
« C’est… le mannequin qui était censé recevoir le sort, pas le scarabée. » dit Maev sèchement pour refroidir ses ardeurs.
« Mais j’ai réussi le test ! Je suis admis ! »dit il l’air convaincu.
« J’y réfléchirai » Maev se tourna et retourna vers son groupe.
Le lendemain Jabberwock fut réveillé brusquement, quelqu’un tapait dans son lit.
« Debout fainéant ! les apprentis magiciens sont ponctuels ! Rendez vous à la porte ouest dans 20 minutes » hurla Maev avant de partir en maugréant.
Le jeune mage, encore couché, les yeux fermés, un sourire jusqu’aux oreilles ne pu s’empêcher de penser que sa destiné était en marche
Dix ans plus tard, peu de choses avaient changées à Ethersword, le commerce prospérait et les monstres grouillaient.
Jabberwock avait maintenant la maturité pour être un garde de la cité. A travers plusieurs missions qui lui étaient attribuées, sa tache consistait à rendre plus sure la ville et ses abords.
Bien que le travail qu’il faisait était gratifiant, il sentait qu’il lui manquait quelque chose .La routine s’installait dans sa vie. Il avait soif d’aventure de voyager vers de nouveaux horizons.
Par une froide journée d’automne, quand le soleil ne réchauffe plus, mais se contente seulement de briller, le mage fut envoyé en mission près du Stronghold dans les terres de l’est. Les monstres y étaient plus hardis, plus nombreux, tandis que le nombre de leurs opposants diminuait à vue d’œil. Ce qui compliquait grandement la tâche.
En contrebas, au bord de la rivière, un bataille faisait rage. Un barbare coiffé en iroquois, vêtu d’une cuirasse lourde, et fouettant l’air en mouvements circulaires avec une hallebarde.
L’homme était cerné par des lynx de la taille d’un tigre, munis de canines acérées. La faim leur donnait le courage d’attaquer les humains.
« Un coup de main ?! » lança le mage en préparant déjà son sort.
« C’est pas de refus !! » répondit le barbare en lacérant les bêtes qui se montraient un peu trop téméraires.
Le combat ne s’éternisa pas, les efforts combinés des deux combattants furent rapidement récompensés.
« Pas commodes les chats dans le coin » dit le guerrier en s’avançant vers Jabberwock sur le ton de la plaisanterie. Je m’appelle McDag, je viens de Ancien Dragon City au sud. J’ai été envoyé ici pour sécuriser les environs.
Jabberwock se présenta à son tour et il prirent la direction du Stronghold pour panser leur plaies.
Cette rencontre fut le début d’une longue aventure….
PS : j'aurai pu continuer mais après il aurai fallu que je demande l'accord de toutes personnes que j'ai rencontré pour les citer, et comme je tape suuuuppppeeerrrr lentement, j'ai préféré m'arrêter.
Sam 27 Sep - 2:19
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